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Aujourd’hui la mode et les mentalités londoniennes ont beaucoup évoluées. Une bonne partie de la population s’est « assagie » mais l’on retrouve encore les vestiges d’une glorieuse époque qui n’a pas totalement disparue. Par exemple la mini-jupe est toujours d’actualité tout comme le pull en grosses mailles, certains groupes revendiquent les couleurs flashies pour se démarquer d’un mouvement populaire dicté par les codes de la haute couture qui imposent des tendances comme les énormes bijoux et qui, parfois, jouent avec le « color-block » (l’art subtile de jouer avec les couleurs). 

D’autres n’ont cessé d’utiliser le cuir et le noir (nous parlons ici des punks « lancés » par Westwood) pour en faire toute une identité. Mais l’extravagance anglaise fait toujours le charme de nos voisins qui n’hésitent pas à innover que ce soit au niveau de la matière, des formes, des motifs, des couleurs, ou des inspirations. Chacun tente à sa manière (ou pas) de se créer cette image, ce style qui fait de lui un être propre, à part, qui le définit, et ceci grâce au prêt-à-porter qui a mis à la disponibilité de toutes les bourses ce "mode de vie". Et c’est ce tout, cette somme d’identités qui peut être définie comme la mode, car c’est de la rue que la mode vient et c’est avec elle qu’elle vit, c’est avec elle qu’elle réinvente chaque jour, chaque saison, les basiques et les « normes » mais tout en gardant un Å“il sur le passé pour le réinventer et le refondre au goût du jour. Le Swinging London n’est pas encore enterré !

Conclusion

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